De grands boulversements, de nouvelles perspectives, j'ai pris 2018 par les endouillers et j'ai tout renversé. Qui à dit que les chiens n'ont pas de cornes ?

Je vous ai laissé sur une faim scandaleuse avec mes débuts de starlette au cinéma coréen, langue pendante, dans l'expectative insupportable d'une fin de plus en plus hypothétique à force de semaines et de mois. Loin de nous l'idée de ne pas terminer mon récit. Ni même de lâcher mon clavier à long terme. Rassurez-vous, je possède plusieurs brouillons plus ou moins avancés, ainsi que de nombreuses idées pour les publications futures.
Mais tel le phoenix, je renais des cendres de votre espoir et de vos commentaires impatiemment renouvelés.

J'ai procédé et de grands changements dans ma vie japonaise, car après deux ans à me la couler douce derrière les fourneaux du petit bar de la gare de Nagoya où certains lecteurs m'ont parfois rendu visite, j'ai fini par me demander quel était le rêve suivant. Vivre au Japon. OK. Parler japonais couramment. OK. L'écrire. Euh... Rien d'autre ? Écrire ! 

J'ai envoyé valser mes colocs, j'ai acheté une moto, j'ai été choisie par un chat, j'ai emménagé dans une vielle baraque en bois des années trente avec une théière du même siècle : la panoplie complète de l'écrivaine à succès.

Réaccorder mon violon japonais

Ne vous inquiétez point, avides aventuriers de la toile multinationale, mon dernier mot n'est pas écrit ! 

Calmez vos espérances cependant, cet ersatz d'article n'a pour autre but que de vous faire patienter encore un peu avec quelques textes bien placés. Désolée.
Car si je n'ai pas publié sur Rill in Japan, c'est que j'ai publié ailleurs. Ne criez pas à la félonie mes braves : inutile de préciser qu'avec un rythme initial de parution en dent de requin scie atteint de gigantisme, chaque article écrit pour un autre destinataire repousse de ce fait l'échéance sur Rill in Japan.

Je vous prie donc humblement de bien vouloir agréer, Mesdames & Messieurs Lecteurs, l'expression archi-respectueuse de mes excuses les plus plates, ainsi que ce plateau de sushi hors de prix afin de sustenter votre appétit.

Amuse-gueule n°1 - Plateau de maki B12

Il s'agit d'une interview réalisée pour l'incontournable plateforme "BlogExpat.com". C'est un site plutôt complet sur l'expatriation à travers le monde, avec des forums bien encadrés et une communauté bienveillante. En ce qui concerne le Japon en tout cas.

Pour ceux d'entre vous qui se demandent encore qui est Rill in Japan, vous trouverez une bonne partie de ce que vous cherchez dans ce texte. Il contient même des nouvelles plus ou moins exclusives. Bigre !

>>   Du Bordelais à Nagoya - Rill in Japan   <<

(http://interviews.blogexpat.com/blog/2018/09/06/du-bordelais-a-nagoya-rill-in-japan)

Expat Interview

 

Amuse-gueule n°2 - Assiette de bochettes Yakitori N42

Le deuxième article vous attend sur le site "France-Expat.com".
Il parle cette fois de la recherche d'emploi au Japon, pour cette nouvelle plateforme qui regroupe de nombreuses offres d'emploi internationales destinées aux Français. J'ai voulu y donner un avis plus neutre et réaliste, sur les embûches qui attendent les non-ingénieurs cherchant un emploi en dehors de l'enseignement au Japon.

Donner ma démission à l'auberge de jeunesse faisant partie des décisions prises après la publication de cet article en début d'été 2018, j'espère sincèrement que mes conseils pédants me seront utiles dans les mois à venir. 

>>   Partir travailler au Japon par Rill   <<

(https://www.france-expat.com/japon/travailler-au-japon/)

Formidable n'est-ce pas ?

 

 

Parce que c'est le jeu, mon pauvre Google.

Enfin, j'en profite pour vous remercier, car chaque encouragement, chaque commentaire me touche droit au coeur, et me confirme qu'il n'y a rien de mieux de que rendre les gens heureux en faisant ce que l'on aime.

Mais voilà.

Le site Kigurumi  France a publié cet été une liste des "50 excellents blogs Japon à suivre pour tous les passionnés de l’archipel !".
Pour être tout-à-fait honnête, j'ai ragé de ne pas en faire partie aux côtés de mes créateurs tatamisés favoris. Pas de secrets : un rythme de publication lent, un contenu non visuel, un japon moins rose, une communauté passionnée mais réduite... Rill in Japan passe souvent à travers toutes les mailles des cyber-recherches japonophiles.

Le blog n'est pas monétisé afin de vous éviter la pollution publicitaire, et je prends un plaisir fou à pondre des titres alambiqués et originaux. C'est joli, mais cela a une conséquence néfaste majeure : Rill in Japn perd aussi de ce fait un gros poids dans le référencement. Google le classe instantanément comme  "ne répondant pas aux critères de recherche Japon + Blog", et il sort rarement dans les pages de recherche. 

C'est pourquoi il a besoin de vos interactions pour exister et surprendre de nouveaux lecteurs. N'hésitez jamais à commenter un article, à me donner votre avis, à parler du blog autour de vous, ou même à partager l'article qui vous a tant plu.
Poster des liens un peu partout pour obliger Google à nous regarder. C'est le jeu.

Bref, la balle est dans votre camps aussi un petit peu.

Il existe une page Facebook, un compte Instagram, une newsletter à laquelle s'abonner pour être sûrs de ne rien rater... chacune avec un contenu un peu différent et des publications aussi aléatoires qu'ici.

Tout mis bout-à-bout, c'est presque régulier.

 

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