La 7ème Vague
22 févr. 2016Bonus !
J'ai travaillé ce weekend à la Japan Expo Sud, à Marseille. J'oeuvre régulièrement à celle de Paris, mais la provencale, c'était une première pour moi.
Outre une certaine forme de retour aux sources, vivre ce type de festival de l'autre côté de la barrière est un moyen formidable de se sentir faire part de la grosse machine et de recontrer des gens mus par la même énergie japonivorre. On se démène au sein d'une équipe soudée et motivée pour le bonheur des invités et des visiteurs.
C'est aussi une énième occasion rêvée de repousser ses limites avec un nombre indécents d'heures de travail -que l'on ne voit pas passer- combiné à un temps limité de sommeil. (Remarquez les trais tiré de la chef d'équipe au milieu de la photographie prise le dernier jour du festival).
©K
Posté par Japan Expo Sud sur dimanche 21 février 2016
C'est avec euphorie et autorisation de mon supérieur que je me suis jetée sur les diverses bâches ornant l'entrée du festival au moment du démontage. Métamorphosée en diable de tasmanie, je m'en suis donnée à coeur-joie, tantôt avec les ongles, tantôt avec les dents, appellant au besoin mes collègues éberlués pour partager ce moment de pêtage de plomb salvateur, sous l'oeil amusé du haut responsable.
Les dernièrs visiteurs quittant l'évènement ont ainsi pu me dévisager avec stupéfaction transformer en conféttis les restes d'un "Bienvenue à la Japan Expo Sud" tout en ponctuant mes élans destructeurs par de chaleureux :